Le plein d’idées pour de nouveaux projets au CIPAR
Le confinement n’empêche pas l’équipe du CIPAR de travailler à de nouveaux projets. C’est plutôt l’occasion de prendre un peu de recul, de regarder ce qui a été fait et ce qui doit l’être. Réfléchir chacun à nos missions et se demander comment continuer à répondre aux enjeux en restant pourtant chez nous ? Grâce aux réunions virtuelles, nous avons bien avancé : découvrez en avant-première nos prochains projets !
Nous vous dévoilons ici une petite liste de nos futures activités et publications :
- une brochure sur les sculptures en bois et leur conservation ;
- une exposition sur le même thème qui pourra voyager d’église en église. N’hésitez pas d’ailleurs à envoyer un mail au CIPAR pour l’accueillir dans la vôtre.
- la troisième édition de la formation en conservation et gestion du patrimoine ;
- de la documentation sur la conservation préventive prochainement disponible en ligne sur le site.
Nous avons également rassemblé nos idées et envisagé nos deux prochaines journées d’étude qui se dérouleront en 2021, avec une édition spéciale prévue en avril. A travers tous ces projets, notre objectif reste toujours le même : appuyer et encadrer les services diocésains du patrimoine, les fabriques d’église et les communes dans leurs tâches de gestion du patrimoine religieux conservé dans les églises. Les brochures donnent des informations pratiques et, des astuces concrètes pour aider toute personne en charge de la conservation des objets religieux. Les formations permettent, grâce à des cours ou des ateliers pratiques, d’enrichir ses connaissances artistiques et techniques en matière de patrimoine mobilier religieux. Elles visent surtout à transmettre les principes de base d’une bonne gestion et une conservation du patrimoine.
Nous vous rappelons que, depuis un mois, les publications du CIPAR sont accessibles librement en ligne.
Dans le courant de l’été, nous allons déménager dans un autre bâtiment de l'Évêché de Namur, l’actuelle “Maison des Médias”. Nous aurons la chance d’avoir de nouveaux bureaux rénovés.
Vinciane Groessens